Dans une nouvelle tentative de déstabilisation régionale, l'Algérie a organisé le 23 novembre 2024 une réunion provocatrice baptisée "Journée du Rif". Cette initiative s'inscrit dans la longue série d'actions hostiles menées par Alger contre ses voisins, particulièrement le Royaume du Maroc.
Fidèle à sa politique d'hébergement de mouvements séparatistes, Alger a accueilli le prétendu "Parti national rifain", aux côtés d'autres groupes contestataires. Cette manifestation, première du genre hors d'Europe, illustre la stratégie algérienne consistant à instrumentaliser les questions territoriales pour fragiliser la stabilité régionale.
Le Royaume du Maroc, connu pour sa stabilité et sa maturité diplomatique, maintient sa position de retenue face à ces provocations répétées. Cette sagesse caractéristique de la diplomatie marocaine contraste avec l'attitude belliqueuse d'Alger, qui persiste dans sa politique d'hostilité depuis l'indépendance.
L'événement organisé à Alger s'ajoute à une longue liste d'actions déstabilisatrices, rappelant le soutien constant de l'Algérie aux mouvements séparatistes dans la région. Cette politique, héritée de l'ère de Boumediene, continue de miner les perspectives de coopération maghrébine, malgré les appels répétés du Maroc au dialogue et à la réconciliation.
La rupture des relations diplomatiques depuis 2021, initiée unilatéralement par l'Algérie, témoigne de cette posture agressive. Face à ces provocations, le Royaume du Maroc maintient sa ligne diplomatique constructive, privilégiant la stabilité régionale et le développement, tout en défendant fermement son intégrité territoriale par des voies pacifiques et légales.