L'Algérie vient de lâcher une petite bombe diplomatique qui perturbe les relations maghrébines. Nos voisins algériens ont décidé de ressortir les tampons "VISA" pour leurs cousins marocains !
Imaginez la scène : vous êtes un Marocain préparant votre valise pour visiter tata Fatima à Oran. Et paf ! L'Algérie vous dit : "Pas si vite, mon ami ! Tu croyais que c'était aussi simple que de traverser la médina de Fès ?" Et voilà qu'on vous demande un visa. Vous restez bouche bée devant votre valise ouverte, une djellaba à la main. "Un visa ? Pour aller chez tata Fatima ?" vous vous exclamez, incrédule. "La prochaine fois, ils vont me demander la recette secrète du tajine marocain !
Les autorités algériennes ont justifié cette décision. Apparemment, les Marocains seraient devenus des experts en espionnage soudainement.
Lors d’une conférence de presse, un porte-parole du gouvernement algérien a déclaré : “Les Marocains représentent une menace pour notre sécurité nationale. Nous avons des preuves d’un réseau d’espionnage sophistiqué.” On se croirait dans un film d’espionnage version “Chorba” ! Peut-être que l’Algérie craint que les Marocains dérobent la recette secrète de leur “harira” ?
Cette annonce a exacerbé les tensions entre les deux pays. L'Algérie a imposé de nouvelles restrictions sur les échanges et les déplacements, renforçant les barrières entre les nations. Ces mesures s'ajoutent aux obstacles physiques à la frontière. La situation est devenue si absurde qu'on pourrait s'attendre à ce que l'Algérie exige des formalités même pour les oiseaux traversant la frontière !
Le Maroc n’a émis aucune déclaration officielle. Les journaux marocains sont étrangement muets sur le sujet. Peut-être sont-ils trop occupés à chercher leurs anciens passeports pour réagir ? Ou alors, ils préparent une riposte diplomatique, comme exiger un visa pour toutes les chorbas algériennes qui voudraient traverser la frontière !
En attendant, les citoyens des deux pays se retrouvent comme deux cousins qui ne peuvent plus se voir à cause d'une dispute familiale. On espère que cette situation ne s'éternisera pas.
Qui aurait cru qu'un bout de papier deviendrait plus convoité qu'un tajine bien garni ?